Nous avons lu et regardé « Le chemin de la liberté », la véritable autobiographie de Doris Pilkington Garimara, à propos de ces enfants issus pour moitié de la caste aborigène, envoyés de force dans les institutions et entrainés à intégrer la classe moyenne pour au final travailler comme employé domestique. Trois jeunes amis se sont enfuis et découvrent le chemin de la liberté. A travers ce chemin, ils vivent une incroyable et difficile aventure sur 2 400km pour retourner chez eux à Jigalong.
Issus pour moitié de la caste indigène, ou comme on dit aujourd’hui des enfants avec une double culture, ont été enlevés de force jusqu’en 1970. Ce n’est qu’en 2008 que le gouvernement australien s’est excusé auprès de ces enfants surnommés « les générations volées ».
Nous avons effectué des recherches sur l’art aborigène, regardé le symbole derrière les dessins du style « Dreamtime ». Nous avons créé nos propres dessins utilisant le style des points, s’asseyant traditionnellement en groupe et travaillant ensemble. Nous avons utilisé de la peinture acrylique pour nos peintures.
Nous avons eu de la chance d’avoir à l’école une vraie australienne, Mme Rowley, qui a écouté nos histoires et pris part à notre compétition. Elle était soit très polie soit adorait nos peintures, disant que les couleurs vibrantes de nos œuvres la rendait nostalgique de son pays.
Mmes Desgouttes and Jourdan, enseignantes